Jean-Marie nous confie d’emblée que sa passion du monde équestre l’a premièrement amené à suivre des cours d’équitation. Il a notamment travaillé dans le dressage des chevaux et s’adonnait au parcours d’obstacles. Son ambition était de devenir jockey.

« Je voulais devenir jockey en Belgique et même à l’échelle internationale, mais c’est un véritable parcours du combattant. De plus, il faut commencer très jeune. », nous dit-il.

Il s’est ensuite intéressé au patrimoine, à l’art architectural. Il a entre autres organisé des visites de la Grand-Place de Bruxelles, de Bruges et d’autres villes encore… Il a en outre participé à la restauration de bâtiments anciens, à la réfection de vitraux, de châssis d’époque… De cette période est né son savoir-faire dans le domaine de la peinture.

« Je suis arrivé chez Smals en 1983. C’est moi qui ai repeint les bâtiments de Smals. On m’appelait d’ailleurs le Rubens de Smals dans les couloirs. », s’amuse-t-il.

Jean-Marie dans le hall d’entrée de SC, qu’il a repeint en 2020.

« Durant les premières années de ma fonction, j’ai aussi effectué divers travaux d’électricité et de plomberie. Du reste, j’organisais les contacts avec les sociétés externes, comme les fournisseurs, les techniciens pour les ascenseurs par exemple… De manière générale, j’ai toujours reçu des compliments pour mes travaux, comme la peinture des réfectoires ou encore le logo peint sur le mur du rez-de-chaussée. Ces compliments font toujours plaisir. »

Quiconque connaît Jean-Marie sait le culte qu’il voue au groupe Rolling Stones. Quand on l’interroge à ce sujet, il nous explique, des étoiles dans les yeux, qu’il est fan depuis 1974. Il a ainsi assisté à 44 concerts lors de 8 tournées différentes à travers le monde : pays scandinaves, Angleterre, Irlande, Pays-Bas… Il possède une collection monumentale d’objets en rapport avec le célèbre groupe rock.

À la question « Quels sont tes projets pour ta pension ? », il répond « J’aimerais faire un voyage en groupe au Japon. Et je compte profiter de ma pension pour faire de belles randonnées, car j’adore la marche. »

Il nous confie toutefois qu’il regrettera les contacts humains qu’il avait chez Smals. Il était très content de travailler chez Smals et sera triste de ne plus pouvoir suivre l’évolution de l’association.

L’interview s’achève par le fameux mot de la fin : « Un message aux employés ? Je leur souhaite à tous une belle carrière leur permettant de s’épanouir. Mon conseil serait de rester positif et de ne jamais s’arrêter d’apprendre. »

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