Smals soutient le secteur Horeca avec des solutions informatiques innovante
Les connaisseurs affirment que l’été est là, synonyme de temps des terrasses. Affublés de Crocs et de shorts, ces connaisseurs se dirigent résolument vers la côte (ou les Ardennes) pour se poser. Profiter. Une véritable période d’affluence, croyez-le ou non ! Pour les cafés et les restaurants assurément, mais aussi… pour les systèmes informatiques de Smals !
Comme à l’accoutumée (dans les coulisses et sans s’autocongratuler en permanence – sauf cette fois-ci, peut-être), Smals intervient dans de nombreux aspects de ce fameux temps des terrasses.
Ce n’est un secret pour personne : le secteur Horeca recourt à un grand nombre d’étudiants jobistes. Ces étudiants doivent avant tout (comme le mot l’indique) étudier. Là-dessus, tout le monde est d’accord. S’ils ne sont pas sur les genoux après tous leurs efforts, ils peuvent faire un petit boulot.
À concurrence d’un maximum de 600 heures par an, ce qui représente tout de même 75 journées complètes de 8 heures. Grâce à Student@work, ces étudiants peuvent consulter le solde exact d’heures qu’ils peuvent encore prester, tandis qu’ils peuvent poser leurs éventuelles questions à un chatbot.
Les non-étudiants, et ils sont nombreux, peuvent être enregistrés via la Dimona. Non pas la ville située dans un désert d’Israël, mais la Déclaration Immédiate / Onmiddellijke Aangifte. Les employeurs y indiquent en toute facilité quand les travailleurs rejoignent ou quittent leur entreprise (ou travaillent plus longtemps ou moins longtemps que prévu) et le tour est joué.
Les clubs sportifs et les associations socioculturelles, pour leur part, sont ravis des statuts du Travail associatif, leur permettant d’engager des travailleurs pour des activités temporaires. Bien évidemment, le nombre d’heures de travail autorisées dans ce régime est limité, mais il fait l’objet d’un suivi minutieux également.
Pour ceux qui veulent toujours travailler plus, il existe aussi les flexi-jobs ! Le contrat flexible permet de déployer facilement un travailleur supplémentaire ; quant au flexi-jobber, il peut agrémenter son prochain citytrip grâce au maximum de 12000 euros qu’il peut gagner en plus. Précisons tout de même qu’il ne s’agit pas de faire ses valises tout de suite, car il s’agit d’un montant sur une base annuelle.
Et ceux qui aiment écumer les restaurants, soyez solidaires au moment de régler l‘addition via la caisse blanche, obligatoire pour « toute entreprise belge dont le chiffre d’affaires annuel relatif à la vente de repas atteint au moins 25000 euros (hors boissons et TVA) ». Si les possibilités de (faire) travailler sont nombreuses, toutes ces données doivent bien évidemment être traitées et stockées quelque part. C’est ainsi que Smals vous soutient dans vos moments passés aux terrasses – dans les coulisses, avec des personnes et une technologie qui font encore et toujours la différence.
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